Sea Shepherd contre la pêche illégale, la fin justifie-t-elle les moyens ?
Sea Shepherd est une association créée en 1977, par Paul Watson, un ancien gérant de Greenpeace pour empêcher originellement la pêche des baleines et s’est au fur et à mesure étendue à tout le monde marin. En effet Lamya Essemlali, la présidente de Sea Shepherd France, a déclaré en décembre 2019 “L’océan est le premier poumon de la planète, alors si la biodiversité disparaît les conséquences seront inimaginables.” Cependant Sea Shepherd divise tant par la cause que par les moyens qui sont souvent jugés trop extrêmes. Les différents moyens de Sea Shepherd pour arriver à ses fins déplaisent à certains et pour des raisons différentes. Il y a par exemple quelques puissants pays qui s’y opposent, comme le Japon ou encore le Canada et revendiquent leur droit de pêche. Certains déplorent les actions auto-qualifiées de “agressives et non violentes”.
Il y a aussi de nombreuses célébrités qui soutiennent l’ONG autant financièrement que publiquement et leur permettent une meilleure visibilité. Les méthodes de Sea Shepherd vont de la simple manifestation sur la voie publique et vont jusqu’au pillage, sabordage et mise hors service des bateaux de pêcheurs. Cependant, Sea Shepherd se défend en disant agir de manière brutale uniquement lorsque les pêcheurs sont en grave illégalité et tentent de s'enfuir. Toutes ces actions peuvent et ont déjà entraîné des amendes ou de la prison car l’ONG a pour habitude de choquer le public, ils ont par exemple publié les cadavres des espèces maritimes retrouvées et filmé les méthodes de pêche des navires japonais pour tuer des baleines à la chasse aux harpons. Ces méthodes les font d'ailleurs passer pour des terroristes auprès d’une partie de la population et des autorités japonaises. C’est donc en sachant cela que nous nous sommes posé la question, est-ce que la fin justifie les moyens dans le cadre de Sea Shepherd ?
Présentation du groupe
Théo : J’ai 18 ans depuis le 19 juin, né dans Paris 13, chez les riches. Je suis un futur ingénieur diplômé de l’ESIEE, le sort en décidera. (donnez moi ce diplôme svp). Je suis aussi fan de sport (8h par jour) et de technologies. I have a dream, je veux explorer le monde à travers le travail que je ferai pour développer un maximum de projets.
Ethan : Je suis né le 11 mai 2003 en Seine-et-Marne. Je suis amateur de sport et de sciences. J’ai rejoint l’ESIEE parce que bah… pourquoi pas. Je vise une place dans la filière énergie en E3 mais l’avenir n’en est pas moins sûr. En attendant, j'ai un projet de controverses à faire.
Olivia : Je suis née un vendredi 13 (septembre 2002) mais tout va bien pour moi. J’aime cuisiner et manger, ce qui est plutôt pratique. Je suis à l'ESIEE pour espérer devenir ingénieure. Je ne sais pas encore ce que j’aimerai faire concrètement plus tard, mais j’ai encore 5 ans pour réfléchir.
Juliette : Je suis née le 15 janvier 2002, oui j’ai bientôt 19 ans… ça passe vite ! J’aime la biologie, c’est pour cela que j’aimerais aller dans la spécialité biotechnologies de l’école d’ingénieur ESIEE Paris. J’aime aussi la photo et les voyages pour découvrir le monde si vaste qui nous entoure.